Vidéographe lance Vithèque
300 vidéos indépendantes en ligne
Le dimanche 13 juin 2010 par Soleillion Petite sœur du cinéma, plus fluide que lui et plus à même de naviguer sur la toile, la vidéo est un art à part entière. La plateforme Vithèque, lancée ces jours derniers, le prouve. 300 vidéos de 250 artistes sont en ligne et accessible au monde entier gratuitement après une petite inscription. Vithèque souhaite se démarquer des autres plateformes par la qualité de sa sélection et son professionnalisme. Les œuvres présentées sont exigeantes comme dans un cinéma d’art et d’essai. Là est sa force. On y trouve des films rares, des courts-métrages et des documentaires qui habituellement se cachent dans les festivals comme Off-courts, le festival franco-québécois du courts métrages qui a lieu tous les ans à Trouville, en Normandie. Vithèque fait aussi office d’archive audiovisuelles. Elle met à la disposition du public des œuvres anciennes et généralement plus difficile à voie encore. Comme le dis le FRIC, Vithèque, c’est également l’occasion d’accéder à des œuvres d’artistes de renom tels que Pierre Falardeau, Robert Morin, François Girard, Sylvie Laliberté, Ricardo Trogi, Manon Labrecque, Pascal Lièvre et bien d’autres. Pour les professionnels, Vithèque va probablement devenir un service essentiel et pour les amateurs curieux, une vaste malle où aller fouiner. Pour en savoir plus, c’est par là : www.vitheque.com ::::::::: A lire aussi :::::::::
Auteur :
Renart Saint Vorles est un coureur des bois numériques nord-américains.
Notes :
Blogueville
Victimes de la crise de la pomme de terre, la migration des irlandais en Amérique fut une épopée tragique. Montréal en a gardé une trace, une petite pierre que la ville moderne à presque avalée.. Allen Ginsberg, poète de la contre-culture, voit son long poème controverser mis en film. Alabama, mon amour a testé, pour vous, La couleur des sentiments de Kathryn Stockett auprès des lecteurs américains. Leçon de parlure québécoise par Bernard Adamus. Tom Otterness est de plus en plus présent dans les rues de New York. Petite découverte avec Dolce Vita. Les lectures d’American Polyphony : Une odyssée américaine de Jim Harrison. |